Après sa visite de courtoisie à l’ancien président Issoufou Mahamadou en qui elle a reconnu les qualités d’un homme d’Etat tout en l’invitant à s’investir en faveur de la paix et la prospérité de son pays, voilà Samira Sabou en déplacement à Filingué pour exprimer tout son soutien et sa solidarité à l’ancien ministre du Pétrole Mahamane Sani Mahamadou détenu dans la prison de cette localité depuis plus d’un an suite au coup d’Etat du 26 juillet 2023 ayant renversé le régime auquel il prenait part activement.

Sommes-nous vraiment engagés dans la voie de la souveraineté ? Ou bien comme le pense une opinion encore répandue, notre quête pour l’indépendance véritable en cette ère de transition scandée n’est que de la chimère ou disons une façon pour les tenants du pouvoir actuel de l’espace dite Confédération Alliance des Etats du Sahel (AES) de distraire leurs peuples pour se mettre à l’abris de toute critique sur leur gouvernance ? En d’autres termes plus explicites, s’agit-il occuper le peuple pour mieux le diriger ?

La journaliste béninoise Anita Marcos, dans sa production, « Un jour, une chronique » de ce mercredi 25 janvier 2023, s’est penchée sur les croyances populaires. Nous vous invitons à découvrir sa chronique intitulée: «Faire un vœu: De la superstition à la culture de la foi».

Les soldats béninois, déployés sur le front de la lutte anti-terroristes dans les zones frontalières du nord font montre de détermination, de sens du devoir et de sacrifice suprême pour préserver l’intégrité du territoire et la sécurité des personnes et des biens. Les autorités font des investissements pour alléger les conditions de terrain, naturellement difficiles et renforcer la présence militaire de l’Etat.

Au regard de l’émergence de l’alcoolisme chez les jeunes, surtout en milieu scolaire, l’Etat de Côte d’Ivoire envisage de réviser son dispositif légal pour faire baisser la prévalence de la consommation d’alcool chez les jeunes.

Cette année, le ciel se montre, hélas, peu généreux et avare en pluies, mais il n’empêche qu’il accorde à nos villes une sorte de sursis. Un répit pour ces milliers de familles qui, à chaque saison pluviale, vivent sous la hantise d’une mort tragique qui emporte en plein sommeil à la suite d’un mur qui s’effondre sans prévenir.