Fait divers: Le divorce le plus bête de ce début d’année 2025

Aussitôt mariés, aussitôt divorcés. Tout s’est passé en moins de 24 heures. Shap ! Shap ! A l’allure du transfert de crédit de communication d’un téléphone à un autre.

Conduit à son nouveau foyer, c’est-à-dire chez son époux, aux environs de 21 heures, voilà Laratou de retour chez ses parents alors que l’horloge posée au chevet de son père venait à peine de sonner 00 heure. 3 heures de temps en tout et pour tout pour une union scellée pour toute la vie, c’est à se demander si vraiment on peut parler de mariage dans le cas du couple Alidou/Laratou. Mais peut-on seulement aller contre la volonté du Tout Puissant ? Les esprits critiques les plus tolérants trouveront à dire qu’ainsi étant fixés leur destin, ils n’y pourront rien que de le subir. Comment en est-on arrivé-là ?

Les explications autour de ce divorce, le plus bête de ce début d’année 2025, n’ont pas tardé à franchir le cadre des cercles familiaux du couple, chacun jetant la responsabilité de ce qui est arrivé sur l’autre.

Pour Laratou et ses parents, Alidou a fait preuve d’une incommensurable immaturité. Ce qu’il avait exigé de sa jeune épouse est non seulement inapproprié mais aussi dépasse son niveau d’éducation sexuelle. C’est, avant tout, une fille très jeune, à peine 21 ans, venant d’une famille où la pudeur observée dans l’éducation des enfants cultive beaucoup la retenue sur tout ce qui a trait à la sexualité. Pas besoin d’expliquer terre à terre pour comprendre les caprices exprimés par Alidou lors de leur première nuit de couple.

Pour Alidou et ses parents, la fille n’a tout simplement pas été à la hauteur. Sinon en quoi les exigences de son jeune époux sont-elles scandaleuses, au point d’en arriver à son comportement humiliant pour leur garçon et leur fille. En effet, ce qu’ils n’ont pas toléré, à leur tour, ce que Laratou expose leur enfant à la risée en affirmant partout qu’Alidou n’est pas issu d’une bonne famille pour lui avoir demandé de se plier à des saletés.

Aux dernières nouvelles, toutes les tentatives pour remettre la relation en bon état ont échoué. Pour Laratou, pas question de se remettre avec une personne aux exigences bestiales. Ainsi fut clos, quelques heures seulement après sa célébration ce mariage scellé ce samedi 25 janvier 2025, dans un quartier périphérique de Niamey, dans la plus grande solennité.

O.K.A.M