Par ISSOUF AG MAHA

Chers frères, chers leaders de l’Azawad,

Je me permets très humblement aujourd’hui de m’adresser à vous tous, toutes tendances et toutes positions confondues dans le but unique de vous faire part de l’angoisse et de la préoccupation qui sont les nôtres face au calvaire et au drame sans précédent que traversent les populations de l’Azawad ces dernières années.

(Xinhua) -- En Afrique, le sport est un sujet incontournable. Des disciplines ancestrales aux nouveaux sports émergents, des records du monde établis par les stars internationales à un enthousiasme considérable de la population, la passion du sport sur le continent est évidente.

Le Président Bassirou Diomaye Faye est à Paris. Sur invitation de son homologue français, le Président Emmanuel Macron, et de Thomas Bach, Président du comité exécutif du Comité International Olympique (CIO), le chef de l’Etat sénégalais va participer au Sommet international sur « Sport pour le Développement Durable » prévu le 25 juillet 2024.

On a du mal à imaginer le G20 en champion de la justice sociale. Le journaliste du Financial Times Alan Beattie, soulignant l'absence de direction claire du groupe, l'a un jour comparé à un « cheval de pantomime conduit par une troupe de clowns ». Mais la présidence brésilienne offre l'occasion de changer cette perception.

Le Sénégal, via le Global Shield ou le Bouclier mondial contre les risques climatiques, veut combler ses lacunes en matière de protection financière contre les risques climatiques. Cela, en étroite collaboration avec la Banque mondiale et les autres partenaires techniques et financiers (Ptf).

Par Kingsley Moghalu*

Malgré les discours ambitieux sur la « montée de l’Afrique », le continent n’est pas encore parvenu au niveau de prospérité que l’on trouve de plus en plus ailleurs dans le monde, notamment dans une grande partie de l’Asie. Pour parvenir à une véritable prospérité inclusive (au-delà du taux de croissance du PIB), l’Afrique doit intensifier ses échanges commerciaux – une condition indispensable pour sortir une population de la pauvreté. Or jusqu’à présent, la part de l’Afrique dans le commerce mondial se limite depuis longtemps à environ 3 %.